26 Mai 2017
Arrivé à Gontán, à presque 1700. L'étape s'est déroulée sous une pluie soutenue, voire très forte. Brouillard et vent, étaient également présents. Les villages traversés étaient tristes et mal entretenus. Nous sommes en Galice et effectivement, comme sur le chemin français, on constate une nette différence avec l'Asturie. Dans cette dernière province, les villes et villages étaient supers propres. En fait, tout respirait une belle aisance, et en plus, des paysages fabuleux donnaient l'envie de ne pas avancer trop vite. Le chemin du nord est difficile et on respecte ces différences, comme le fait, d'être, en qualité de pèlerin pas très bien compris.